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8.20.2018

Une boucle d'oreille en or rarissime découverte à Jérusalem

L'Autorité des antiquités d'Israël (IAA) et les archéologues de l’Université de Tel Aviv ont découvert une boucle d'oreille en or vieille de 2000 ans. Elle a été trouvée au cours des fouilles d'un parking dans le parc national de la Cité de David qui entoure les murs de la vieille ville de Jérusalem.

Une boucle d'oreille en or rarissime découverte à Jérusalem

Une boucle d'oreille en or rarissime découverte à Jérusalem
Photos de la boucle d'oreille qui porte la tête d'un animal à cornes avec de grands yeux, une bouche et d'autres traits du visage. (Israel Antiquities Authority)

La boucle d'oreille magnifiquement conçue a un animal à cornes au sommet. C'est la première découverte de ce genre concernant une époque où la vie juive était centrée autour du temple.

L'équipe a daté la boucle d'oreille au deuxième ou troisième siècle avant JC, lors de la période hellénistique.


C'est une découverte enthousiasmante car elle aide à comprendre l’influence de la culture grecque à Jérusalem à cette époque.

"Le bijou a été trouvé à l'intérieur d'une construction qui a été mise au jour pendant les fouilles; elle remontait au début de la période hellénistique, une époque fascinante sur laquelle nous en savons très peu de chose à Jérusalem" ont déclaré le professeur Yuval Gadot de l'Université de Tel Aviv, et l'archéologue de l'IAA, le Dr Yiftah Shalev, co-directeur des fouilles.

"On ne sait  pas si la boucle d'oreille était portée par un homme ou une femme, nous ne connaissons pas non plus leur identité culturelle ou religieuse, mais nous pouvons dire avec certitude que celle ou celui qui portait cette boucle d'oreille appartenait définitivement à la classe supérieure de Jérusalem" ajoutent-ils.
Une boucle d'oreille en or rarissime découverte à Jérusalem
La boucle d'oreille a été découverte dans le parc national de la cité de David encerclant les anciens remparts de la ville. (Israel Antiquities Authority)

Des boucles d'oreille comme celle-ci ont été découvertes en Grèce et dans d'autres régions du bassin méditerranéen, mais les archéologues israéliens ont en trouvé très peu, comme celle-ci, et la plupart sur la côte.

Ce qui rend cette boucle d'oreille unique est le fait qu'elle a été trouvée dans Jérusalem.

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6.27.2018

Une amulette islamique vieille de 1000 ans trouvée à Jérusalem

Les archéologues fouillant l'un des plus anciens endroits de Jérusalem ont trouvé une petite amulette islamique à travers laquelle un homme, du nom de Kareem, qui vivait dans la cité il y a plus de mille ans, recherchait la protection d'Allah.

Portant une magnifique inscription en arabe, le talisman rarissime de la taille d'une miniature a été daté du IXe ou Xe siècle de l'ère commune, l'époque du Califat abbasside.

Une amulette islamique vieille de 1000 ans trouvée à Jérusalem
L'amulette trouvée dans la cité de David

L'écriture pieuse apparaît sur deux lignes et a été traduite ainsi: "Kareem fait confiance à Allah - Le Seigneur des Mondes est Allah."

"Le but d'une amulette comme celle-ci est d'obtenir une protection personnelle" rapporte le Dr Yiftah Shalev de l'Israel Antiquities Authority (IAA), "C'est comme un Juif qui se promène avec un pendentif portant la prière du Chema Israël. Depuis des temps immémoriaux, le but des amulettes comme celles-ci est de se protéger du mauvais œil."

La première ligne est familière des sceaux et des graffitis que l'on retrouve le long de Darb al-Haj, la route de pèlerinage vers La Mecque, de la même période, autour du VIIIe au Xe siècle de l'ère commune.

La seconde ligne est légèrement érodée et son interprétation est basée sur des phrases similaires trouvées sur des sceaux personnels et dans le Coran.


Le califat abbasside

Les abbassides, qui descendraient de l'oncle du Prophète Mahomet, Al-Abbas ibn Abd al-Muttalib (566-653 de l'ère commune), furent le troisième califat après l'époque de Mahomet.
Depuis Bagdad, ils ont gouverné un vaste empire, du 8ème au 13ème siècle. À son apogée, l'empire s'étendait de l'Afrique du Nord à l'ouest, recouvrant tout le Golfe Persique, et allait jusqu'en Arménie, Turkestan et Afghanistan. En Israël, lis ont régné de la fin du 8ème siècle jusqu'à la fin du 10ème siècle.

L'amulette a été trouvée au cours de fouilles sur un site se trouvant juste au sud du Mont du Temple, faisant partie de la zone considérée comme le premier noyau habité de la ville.

La zone, appelée aujourd’hui Cité de David (bien qu'il n'y ait pas de preuve archéologique directe de l'existence du roi David), contient des restes allant de l'âge du bronze à la période ottomane, dont des structures laissées par les israélites, romains, arabes et une demie-douzaine d'autres civilisations qui ont laissé leur marque dans Jérusalem à travers les millénaires.

C'est parmi les couches relativement plus tardives du site de fouille que les archéologues ont trouvé l'amulette appartenant il y a plus de 1000 ans à ce fidèle musulman du nom de Kareem.


Une offrande de fondation ?


L'amulette a été datée par le Dr Nitzan Amitai-Preiss, de l'Université Hébraïque de Jérusalem, en se  basant sur la calligraphie qui es typique de la période du troisième califat, sur la datation de la structure dans laquelle l'objet a été trouvé et d'après les fragments de poterie trouvés sur le site, dont une lampe complète typique de la période Abbasside.

La structure est dans pauvre état de conservation observe Shaley: "Nous avons trouvé des murs de fondation et des carreaux de plancher. C'était une structure simple, probablement résidentielle avec un petit artisanat".

Un aperçu du site de fouille.



Les fouilles sur le site, menées par l'IAA et l'Université de Tel Aviv avait déjà permis de mettre au jour les restes d'un grand marché, au-dessus duquel, plus tard, des maisons et une petite industrie ont été érigées. Cette maison ou cet atelier probable correspond avec cette découverte. L'amulette, si petite et finement travaillée, pourrait être un exemplaire de cet artisanat.

Étant donné qu'elle est faite d'argile friable, il y en avait peut-être d'autres comme celle-ci mais elles se sont effritées au cours des siècles. Celle-ci a dû survivre parce qu'elle s'est retrouvée scellée entre les planchers de plâtre On ne sait pas si le talisman y a été placé délibérément lors de la construction, comme une sorte d'offrande de fondation ou bien si Kareem l'avait perdu.



Jérusalem n'était pas la capitale abbasside, mais la cité a été d'une grande importance pour l'islam depuis le début du califat omeyyade (le second après la mort de Mahomet), à cause du Mont du Temple.


Jérusalem est habité depuis au moins 7000 ans, bien avant les grandes religions d'aujourd'hui.


Le sacré préhistorique est apparemment la raison pour laquelle les anciens juifs et plus tard les musulmans y ont construit leurs structures religieuses monumentales.

Les juifs croient que le Mont du Temple est l'endroit où Dieu a rassemblé la poussière pour faire Adam et où le patriarche Abraham a tenté de sacrifier son fils Isaac.

Jérusalem abritait aussi le Temple de Salomon (ou Premier Temple), détruit par les Babyloniens en 587 de l'ère commune, et le Second Temple reconstruit, brûlé par les Romains en 70 de l'ère commune.

L'Islam reconnaît également l'endroit abritant le Temple de Salomon, mais les musulmans le vénèrent principalement comme l'endroit d'où Mahomet est supposé être monté au ciel. Aujourd'hui, le Mont du Temple, connu des musulmans sous le nom d'Al-Haram al-Sharif, le Noble Sanctuaire, abrite le sanctuaire du Dôme du Rocher, le troisième site le plus sacré pour les musulmans.

Le Mont est aussi sacré pour les juifs, abritant plusieurs vestiges du Temple, dont le plus important est le mur occidental, une partie du mur de soutènement construit pour le Second Temple principalement par le roi vassal romain, Hérode le Grand.

Des découvertes récentes indiquent que, contrairement à la tradition, le mur occidental n'a été achevé que 20 ans après la mort du grand roi.


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12.12.2013

Une construction remontant à la période Hasmonéenne découverte à Jérusalem


Un bâtiment de la période Asmonéenne (ou Hasmonéenne ) a été découvert lors de fouilles archéologiques dans la cité de David, dans les murs autour du Parc national de Jérusalem.

 
Au cours des dernières mois, les restes d'un bâtiment impressionnant de l'époque des Hasmonéens (deuxième siècle AEC*) ont été découverts dans les fouilles menées par l'Autorité des Antiquités d'Israël.

Le bâtiment fait 4 mètres de haut et couvre une superficie de 64 mètres carrés. Les murs ont plus d'un mètre d'épaisseur et sont faits de blocs de calcaire grossièrement taillés qui ont été disposés selon la méthode de construction caractéristique de la période des Asmonéens.

Bien que de nombreuses poteries aient été découvertes à l'intérieur du bâtiment, ce sont surtout les pièces de monnaie qui ont surpris les chercheurs. Elles indiquent que la structure a été érigée au début du deuxième siècle avant notre ère et a continué d'être utilisée pendant la période Asmonéenne, au cours de laquelle des changements importants ont été effectués à l'intérieur.

D'après les Dr Doron Ben-Ami et Yana Tchekhanovets, administrateurs des fouilles pour le compte de l'Autorité des Antiquités d'Israël, "l'importance de cette découverte réside principalement dans la rareté des bâtiments Hasmonéens dans la ville de Jérusalem, malgré les nombreuses fouilles qui ont été menées jusqu'à ce jour. Hormis quelques vestiges des fortifications de la ville qui ont été découverts dans différentes parties de Jérusalem, ainsi que des poteries et d'autres petits objets, aucun bâtiment de la ville Hasmonéenne n'a été trouvé jusqu'à présent, et cette découverte comble une lacune dans l'histoire de Jérusalem.".

AEC*: Avant l'Ere Commune

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6.30.2013

Un bain rituel vieux de 2000 ans trouvé à Jérusalem

Les archéologues de Jérusalem ont trouvé un bain rituel vieux de 2.000 ans avec un système sophistiqué pour garder l'eau pure...

Vue aérienne du bain rituel / Israel Antiquities Authority

Le bain, appelé aussi Miqwe ou mikvé, a été trouvé au sud-ouest de Jérusalem sur un site du quartier de Kiryat Menachem.


Le bain avait un système d'adduction d'eau unique. 

Le Miqwe récupérait l'eau de pluie à partir de trois bassins, découpés dans le toit du bain, et l'envoyait dans une chambre d'immersion souterraine par des canaux, a expliqué Benyamin Storchan, le directeur des fouilles.

Storchan a déclaré que ce système est plus complexe que celui des autres bains de la même période. C'est généralement une petite piscine, taillée dans la roche à proximité des eaux de pluie, qui approvisionne la chambre souterraine.
"Il est intéressant de noter que le bain est conforme à toutes les lois de la cacheroute (ensemble des lois alimentaires juives), comme la collecte de l'eau de manière naturelle, sans contact humain, et de s'assurer que l'eau ne s'infiltre pas dans le sol; c'est pourquoi le bain a été traité avec un type particulier de plâtre" a ajouté l'archéologue.

Le bain était associée à une zone d'habitat de la période du Second Temple, et il a apparemment connu une nouvelle vie comme carrière après son abandon.

Pas plus tard que le 20ème siècle, une ouverture a été pratiquée dans le plafond de la chambre d'immersion et elle a été utilisée comme une citerne.

Les fouilles sur le site ont eu lieu avant la construction d'une nouvelle route.


Les projets de développement en Israël exposent souvent les vestiges de la riche histoire de la région. 

Avant la construction d'une nouvelle ligne de chemin de fer israélien dans la ville de Carmiel, les chercheurs ont récemment découvert la sculpture d'un pénis vieille de 6.000 ans.

Par ailleurs, des figurines humaines et animales, dont certaines avaient plus de 9.000 ans, ont été trouvés à Tel Motza, un site en cours de fouille pour faire place à l'extension d'une route reliant Jérusalem et Tel Aviv.

Selon l'archéologue du district de Jérusalem, Amit Re'em, la communauté espère conserver le Miqwe, et l'Israel's Antiquities Authority (IAA) et les développeurs travaillent à rendre le site accessible au public.


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8.27.2012

Découverte des plus anciennes allumettes

D'après des chercheurs d'Israël, de mystérieux objets d'argile et de pierre du Néolithique pourraient être les plus anciennes allumettes à ce jour.

Les rayures sur les "allumettes" ont conduit les chercheurs à penser qu'elles ont été utilisées pour démarrer des feux

Bien que ces objets cylindriques soient connus depuis un certain temps, ils avaient été interprétés, jusqu'à maintenant, comme des symboles phalliques cultuels.

La nouvelle interprétation des chercheurs signifie que ceux-ci pourraient être la plus ancienne preuve sur la façon dont les feux étaient allumés.

L'étude a été publiée dans la revue Plos One. Le journal rapporte que ces objets ont près de 8.000 ans.


Des allume-feux

Bien que les traces de "pyrotechnie" en Eurasie soient connues depuis 750000 ans, ces conclusions proviennent généralement de la forme des restes du feu en lui-même.

"Nous avons des preuves d'utilisation du feu chez les hommes modernes et les Néandertaliens, avec des cendres et des foyers, mais rien n'a jamais été trouvé sur la façon dont ces feux ont été allumés", explique l'auteur principal de l'étude, le professeur Naama Goren-Inbar de l'Université hébraïque de Jérusalem.

C'est au cours d'une visite au Musée d'Israël à Jérusalem que le professeur Goren-Inbar a reconnu la forme des structures découvertes sur le site archéologique Sha'ar HaGolan: elle y a vu des outils utilisés à des fins autres que  simplement cultuelles.

"J'ai vu cet objet et il m'a immédiatement semblé que c'était très, très semblable à tous les bâtons que vous voyez utilisés dans les exercices d'incendie. J'ai fait le rapprochement et cela s'est mis en place lentement", dit-elle.

En utilisant la microscopie électronique, le professeur Goren-Inbar et ses collègues ont identifié des signes révélateurs sur ces objets en argile cylindriques: ils pourraient avoir été mis en rotation à grande vitesse, générant des frictions pour enflammer de l'amadou.

Ils ont identifié des marques linéaires, ou stries, aux extrémités coniques des cylindres qui auraient été générés en faisant tourner les «allumettes» dans des douilles sur des "planches à feu" trouvées sur d'autres sites.

De la coloration "brunie", évoquant des marques de roussissement, a également été trouvée, ainsi que des rainures: cela a pu être généré par un arc, utilisé pour faire tourner les cylindres.

Cette découverte est étayée par des preuves culturelles connues depuis le Néolithique ainsi que la connaissance des techniques traditionnelles d'allumage de feu.

Cette nouvelle interprétation met en valeur la sophistication technologique des habitants de Sha'ar HaGolan à cette époque.

En outre, la prévalence de ces structures autour d'une vaste zone de la Méditerranée orientale peut indiquer que les allumettes d'argile étaient communes à une période antérieure à d'autres technologies d'inflammation.

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12.28.2011

Découverte d'un sceau d'argile lié à l'ancien temple de Jérusalem


Un sceau d'argile rarissime a été trouvé dans la Vieille Ville de Jérusalem; d'après les archéologues, il semble être lié à des rituels religieux pratiqués dans le Temple juif il y a 2.000 ans.

 Ce sceau serait lié à des rituels religieux qui ont eu lieu dans le Temple juif il y a 2.000 ans.

Le sceau, de la taille d'une pièce, a été découvert près du Mur des Lamentations et porte deux mots araméens signifiant "Pur pour Dieu".

L'archéologue Ronny Reich, de l'Université de Haïfa, a déclaré qu'il datait d'entre le 1er siècle avant JC à 70 après JC, l'année où les forces romaines ont maté une révolte des Juifs et détruit le second des deux temples bibliques à Jérusalem.

Cette découverte est la première du genre concernant un sceau portant une inscription à cette période de l'histoire de Jérusalem.
Ce serait un artéfact unique concernant la pratique rituelle dans le temple, ajoute Reich, co-directeur des fouilles.

Très peu d'artéfacts liés à des temples ont été découverts jusqu'ici. Le site du Temple lui-même, l'enceinte connue des Juifs sous l’appellation de "Mont du Temple" ou, pour les musulmans, de "Noble Sanctuaire", reste interdit aux archéologues en raison de sa sensibilité religieuse et politique.

Les archéologues pensent que le sceau a vraisemblablement été utilisé par les responsables du Temple pour approuver un objet à un usage rituel.
Les matériaux utilisés par les prêtres du Temple devaient répondre à des directives strictes de pureté stipulées en détail dans le texte juridique juif connu sous le nom de la Mishna. Il y est mentionné également l'utilisation de sceaux par les pèlerins.

Selon Reich, il s'agit de "la première fois qu'une indication a été apportée par l'archéologie sur les activités dans le Mont du Temple, les activités religieuses d'achat, d'offre et de don au Temple lui-même"

Aren Maeir de l'Université Bar-Ilan, archéologue biblique qui n'a pas participé aux fouilles, a déclaré que le sceau était particulier, car il "a été trouvé juste à côté du Temple et est similaire à ce que nous voyons décrit dans la Mishna."

Le sceau a été trouvé sur la voie d'une rue principale qui traversait l'ancienne Jérusalem, juste en dehors de l'enceinte du Temple. 
Le site faisant l'objet de fouilles est dirigé par des archéologues de l'Autorité des Antiquités d'Israël.
Il fait parti d'un vaste plan de fouille de la ville de David, où les archéologues étudient la plus vieille partie de Jérusalem.

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12.07.2011

Jérusalem: des marques gravées dans la pierre déconcertent les archéologues

Des archéologues ont découvert de mystérieuses gravures dans la pierre sur un site de fouilles à Jérusalem. Ces signes, qui ont été gravés il y a des milliers d'années, ont dérouté les experts.

 Les marques découvertes dans la cite dé David

Les archéologues israéliens fouillant dans la partie la plus ancienne de la ville ont découvert un complexe de pièces avec trois formes en «V» sculptés dans le sol.

Il n'y avait aucun indice permettant de comprendre leur objectif ni rien quant à l'identité des gens qui les ont faits.

Certains experts estiment que les marques remonte au moins à 2800 ans et peuvent avoir contribué à maintenir en place une sorte de structure en bois. D'autres disent qu'un ancien peuple aurait pu s'en servir pour des raisons rituelles.

Le but de ce complexe de pièces est un autre aspect du mystère. Il y a des lignes droites sur les murs et les planchers: ce que les archéologues considèrent comme une preuves d'ingénierie minutieuse.
Les signes ​​se retrouvent également près de la seule source d'eau naturelle de la ville, la source de Gihon, ce qui suggère qu'elles ont pu avoir un rôle important.

Eli Shukron, co-directeur du projet qui est à l'origine de la découverte des marques, a confirmé qu'elles étaient un "peu" mystérieuses. "C'est quelque chose qui est là sur le sol, dans une salle qui remontent à la période du Premier Temple et nous ne savons pas encore ce que cela signifie", at-il ajouté.
La période du Premier Temple se réfère à une période du début de l'ancienne ville, au 10ème siècle avant l'ère chrétienne.

Les experts étant incapables de proposer une théorie sur les marques, les archéologues ont posté une photo sur Facebook et ont demandé des suggestions. Diverses opinions ont été recueillies comme des "moules dans lesquels le métal en fusion aurait pu être versé" ou d'  "anciens caractères hébreux ou égyptiens".

Ces fouilles archéologique dans la Cité de David résultent d'un projet politiquement sensible financé par le gouvernement israélien et les nationalistes juifs.
Les Palestiniens et quelques archéologues israéliens ont critiqué ces fouilles qui seraient une focalisation excessive sur les restes juifs. Les participants nient cette accusation.

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9.30.2007

Des poteries à forte teneur en argent découvertes en Israël

MAJ11/07/17
David Adan-Bayewitz, professeur à l'université de Bar Ilan et invité du laboratoire de Berkeley, ainsi que Frank Asaro et Robert D. Giauque ont découvert des concentrations inhabituelles d'argent sur différents types de poteries de divers chantiers de fouilles à Jérusalem.

Des poteries à forte teneur en argent découvertes en Israël
La rue Herodion à Jerusalem, une des zones ou des poteries à fortes teneur en argent ont été trouvées.

Les études ont porté sur près de 1200 pièces de poteries de 38 sites différents sur la période tardive dite du "second temple".


Les différents lieux de fouilles d'où proviennent les poteries contenant de fortes concentrations argent

Sources:

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